Pour finir ma trilogie, j'ai décidé de me placer sous une bonne influence en temporisant la vulgarité de Frédéric Dard avec une touche de Michel Audiard et un soupçon de Georges Simenon. Je n'ai pas la prétention de me mesurer à ces trois grands messieurs, mais cela m'aidera à tenir un cap dans mon récit. Je suis dans ma phase noir et blanc et ce n'est surtout pas le moment de me parler de changer la couleur du papier peint ; personnellement, je préfère la peinture : j'estourbille, j'éclabousse, j'éparpille et je ventile. Vous voilà prévenu ! ( Écrivain : Georges Simenon )