La sortie de mon San Antonio made in 66 arrive à grands pas, mais je pressentais le besoin de me faire la main sur une histoire courte afin de savoir quelle dose de grivoiserie je souhaitais mettre dans mon récit sans choquer mon lectorat. Bien entendu, je n'ai pas la prétention de me prendre pour monsieur Frédéric Dard, mais faire dans la provocation est une facette de ma personnalité qui me colle plutôt à la peau. Ma maman va encore refuser de lire ce dernier chapitre livresque, ma correctrice me dire : " elle ne va pas bien ta tête ! ", mais je m'en fous, j'assume totalement cette histoire de trou et de quéquette. ( Photographie : je n'ose pas vous le dire. )