Oui je sais ! Mes nouvelles érotiques manquent de vulgarité, vous avez lu des histoires d'auteures et j'insiste sur le " e ", bien plus crues, plus salasses, avec des mots comme " bite ", " queue ", " chatte " et " couille " qui rendaient le récit bien plus captivant. Personnellement, je m'en fous totalement, ce n'est pas parce certaines auteures écrivent en mode " salope " que je suis censé faire la même chose. Je fais dans le roman érotique, pas dans la fête à Popol, ni dans le bal du cul, l'essence même du mot érotisme se retrouve dans le film Emmanuelle, pas dans un vulgaire porno littéraire dénué de charme. ( Photographie : Sylvia Kristel )
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